Bianchimani

Mass...Iliades

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Si vous avez des problèmes avec la V.O., je suis désolé mais le sous-titrage est une spécialisation que je ne maitrise pas !

 

 

 

 

Mèu, Choi, Doumé, Zè et toute la raille...

 

 

Scène 1

 

 

 

- Oh, Mèu ! Putain ! Où tu vas avec cette chaleur ?

 

- Ne m’en parles pas, rien que d’y penser je suis déjà fracassé. Il faut que j’aille en ville acheter des godasses. Demain mon putain de cousin se marie et je suis garçon d’honneur. Ce gros con il a rien trouvé de mieux pour m’emmerder. Un vrai enculé ce Toine. Si c’était pas la famille, je crois que je pourrais l’insulter ce con à la velle.

 

- Putain, avec cette chaleur t’as vraiment du mérite ! Moi à ta place je sais pas si j’aurais pu. Tu dois l’aimer ton cousin !

 

- Eh, ouais ! que je l’aime, tu parles ! Je l’ai pratiquement vu naître, ce petit con !

 

- Ah, ouais ! Et quel âge ça te fait, toi ?

 

- Tu me prends pour une pintade ou quoi ? On a le même âge,  toi et moi !

 

- Ton cousin, il est pas un peu jeune pour se marier ?

 

- T’es con ou quoi ? Tu le connais pas, Toine ? Il doit avoir presqu’un an de moins que moi.

 

- C’est costaud ! Tes parents t’ont laissé regarder sa naissance à un an, moi les miens ils m’auraient jamais permis.

 

- Tu pars en couilles, Choi ! T’es en train de déraper. Qu’est ce que tu racontes ? Tu t’es piqué à la javelle ou t’as bu de la térébenthine ?

 

-  Non, j'ai encore rien pris ! Juste un petit coup de libanais, avant de venir. Du léger !

 

-  Pourquoi tu me dis ça ? Qué rapport avec ce qu’on dit ?

 

-  Eh, ma foi ! Tu m’as bien dit que tu l’as vu naître ton cousin !

 

- Et alors ?

 

-   Et alors, si tu l’as vu naître, vu que t’as juste un an de plus que lui, enfin presque un an. Quand il est né, d’après mes calculs tu devais avoir presqu’un an ! Et je trouve qu’à presque un an, c’est pas un âge pour aller voir un accouchement ! Du moins, c’est ce que je pense ! Ou alors tu t'es trompé de bébé et d'époque et c'était pas ton cousin.

 

- Au secours ! Choi tu t’es fait aider ou t’y est arrivé tout seul ?

 

- A quoi faire ?

 

- A être si con, oh banastre !

 

- Et pourquoi tu m’insultes ?

 

- D’abord, je t’insulte pas, ducon ! Et après… tè, t’es tellement con que je sais pas si je vais te répondre.

 

- Admettons que tu l'aies vu naître, l'âge légal pour rentrer dans une clinique c'est dans les 15 ans, comme tu as 22 ans aujourd'hui, ton cousin en ce moment il a 7 ans et à 7 ans c'est pas un âge pour se marier !

 

- Putain t’es vraiment mou ! A force de te gansailler, tu dois avoir le cervelet qui s’est déplacé.

 

- Ma foi ! C’est pas moi qui vais te contrarier, mais n’empêche qu’à pas tout à fait un an, une clinique optétrique, c’est pas un endroit à aller ! Et qu'à 7 ans ça fait pas sérieux de se marier !

 

- Une quoi ?

 

- Une clinique op-té-tri-que ou tique, je sais pas trop !

 

- Tu devrais arrêter de regarder Urgences sans le son. C’est pas optétique ou tac. On dit une clinique optéticienne. C’est féminin une clinique, espèce de sous-alimenté du cerveau ! Putain ! La culture et toi, bonjour !

 

- T'es sûr ? Optéticienne c'est pas pour les yeux ?

 

- Putain y faut tout te refaire à toi ! Les yeux c'est masculin, donc ça peut pas être ça. C'est simple non ? Où t'as appris le français ? Dans une basse-cour chinoise... 

 

- Vu que je connais ton cousin Toine, au premier abord il fait pas vraiment 7 ans ou alors c'est un sournois ! En finalité tu ne l'as pas vraiment vu naître !

 

- J'ai une journée de l'autre monde, il faut que j'aille en ville sous une chaleur saharienne et caniculaire. Et boum ! Il a fallu que je tombe sur toi ! C'est pas possible on m'a lancé un sort ! A mon avis je finis pas la journée !

 

- Ouais, n'empêche que...

 

- N'empêche que tu me casses les couilles et d'une façon grandiose ! Et que si tu continues je vais te mettre une torgnole que même pas la Bonne Mère elle va te reconnaître !

 

- Putain ! Si on peut plus parler entre amis, minègui !

 

- Non on parle plus, il fait trop chaud ! Mais on peut boire un coup ! Oh, Zè ! Tu me sers un demi, j'ai les amygdales en détresse !  Qu'est-ce tu prends, Choi ?

 

 

Scène 2

 

- Bon sur ces bonnes paroles, je fonce dans la tourmente ! Y a pas à chier i’me faut des sandales vernis !

 

- I’ vaut mieux toi que moi ! Tè, à la tienne !

 

- D’être encouragé ça fait toujours plaisir ! Allez, peut-être à ce soir, si je suis pas calciné avant !

 

- Moi si j’étais toi, je mettrais une combinaison imperméable au feu, comme les pompiers !

 

- Ouais ! Ou alors la tenue de Superman ! T’es toujours aussi con, Choi !

 

- Toujours est-il que tu me laisses seul et que je vais me faire chier comme un rat mort !

 

- Viens avec moi, tu te feras pas chier et tu perdras un peu de ta graisse !

 

- De suite tu cherches à me faire de la peine ! Tu sais bien que je dois pas trop faire d’effort, sinon je risque la rechute !

 

- La rechute de quoi ?

 

- Eh ! La rechute de mon coup de soleil que j’ai ganté y a 15 jours, en allant pécher avec ce con de Fèli. Pour choper 2 poissons et demi i’ m’a fait rester en plein cagnard pendant 24 heures !

 

- Putain ! Ca, c’est dur ! Le plus mauvais, c’est le soleil de minuit… çui-là i’ l’est méchant !

 

- Moque-toi ! N’empêche que j’avais des cloques grosses comme… comme des…

 

- Comme des cloques ?

 

- Attends, ne me mélange pas ! Comme des… comme des grosses… putain, j’ai le nom sur le bout de la langue ! Comme des grosses…

 

- Cloques ?

 

- Voilà ! Des cloques géantes !

 

- On peut dire que que t’as pratiquement frôlé la mort !

 

- Ne le dis pas en rigolant, le docteur m’a dit que l’insolation est assez courante dans la région, et surtout si tu restes au soleil trop longtemps !

 

- Sûr ! C’est pas la moitié d’un con ton toubib ! J’ai connu un mec à l’armée, qui m’a dit que son oncle était mort de chaleur…

 

- Tu vois !

 

- Et pourtant c’était moins pire que d’aller taquiner le gobi avec Félix. Lui, il a simplement voulu traverser le sahara à pied. Et tout seul ! Comme il avait emporté que 100 litres d’aïgue, et qu’il faisait du 10 litres au 20 km, au bout de 10 jours il a commencé à se demander s’il avait  pas fait des prévisions un peu courte au niveau intendance. Sans un bistro à l’horizon, il a dû rebrousser chemin en se disant certainement qu’il avait manqué de professionnalisme. A mon avis, comme il était con comme un chameau mais qu’il n’avait pas son expérience... Il a du craquer au 100ème km. A 80 degrés à l’ombre, surtout quand y a pas un arbre pour t’abriter, c’est officiel ! Tu meurs ! C’est scientifique, tu peux pas faire plus de 100 bornes sans boire à cette température.

 

- Comment ça, c’est scientifique ?

 

- Eh, ouais ! Duglandeau ! Le corps il fonctionne à l’eau, c’est comme une voiture, il…

 

- T’as une voiture à eau, toi ?

 

- Choi, faut que tu consultes en urgence ! Ecoute ce que je dis et laisse-moi finir ! Si tu peux pas suivre, tu me dis et je parle en braille ! Comme ça, peut-être que tu poseras plus de question à la con !

 

- Et je sais pas moi ! Tu…

 

- Quand on sait pas, on ferme sa gueule et on laisse parler les compétents... Je peux terminer ?

 

- Termine, termine !

 

- Qu’est-ce que je disais déjà ?

 

- Que la voiture c’est comme un bonhomme ou…

 

- Oh, les intellectuels ! Toujours en train de parler politique ?

 

- Oh, Françis ! D’où tu sors ? Qu’est-ce tu nous dis ?

 

- Je dis que putain on se croirait dans le désert des Gobis, tellement ça brûle !

 

- Justement on en parlait !

 

- De quoi ? Des Gobis ?

 

- Eh, non ! Du désert !

 

 

 Scène 3

 

 

 - Salut, Choi !

 

- Oh, Marcel ! Tu vas faire bronzette ?

 

- Ne m’en parle pas, si ça continue je vais me faire hospitaliser !

 

- T’as un problème ?

 

-  Eh, non ! Mais au moins dans les hôpitaux, y a la clim’ !

 

- Fache de con ! T’as la solution un peu extrémiste ! Tu me diras... T’as qu’à choper un cancer, tu seras encliniqué et tu t’inquièteras plus pour les coups de soleil !

 

- Je sais pas si c’est pire... Tu vois pas que si ça continue, je vais finir en liquide !

 

- Ouais ! Et tu pourras dormir dans un gobelet et te mettre au frigo !

 

- Te moque pas ! Y en a qui se sont négués dans leur propre sueur, dans les pays équato… Comme on dit ? Rials ou riaux ?

 

- Comme tu veux ! Tu sais le français quand tu sais pas trop, tu improvises ! Quand t’as du cul tu tombes bien, et quand t’es noir tu passes pour un con qui sait pas parler !

 

- T’as raison ! On va pas chipoter avec cette chaleur ! D’autant plus que t’as compris ce que je voulais dire, non ?

 

- Oui et Non ! Tu parlais de bonhommes qui s’étaient noyés dans leur sueur, tu crois pas que t’exagères un tantinet ?

 

- C’est pas de l’exagération, c’est de la… de la… Merde ! J’avais appris un mot pour faire le costaud et je m’en rappelle plus, la con de ses poumons !

 

- Désolé Cèlou ! Sur ce coup je peux pas t’aider ! En plus, je vois pas trop ce que tu veux dire !

 

- Putain, c’est simple ! C’est quand tu veux dire quelque chose en faisant le beau, sans que ça ait trop de rapport avec ce que tu dis, tout en disant la même chose, mais en amélioré… Un truc de mec à lunettes qui lit beaucoup, juste pour faire le zazou dans les bistros ! En fait, un truc à la con qui te fait transpirer pour rien !

 

- Ah, ouais, là j’ai tout compris ! Tu vois quand tu veux... Dans ce coup tu pourrais passer pour un diplomé de la fac de la Capelette et avec les accessoires de chez Afflelou !

 

- Choi, je t’aime bien ! Mais dès fois je me demande si tu me prends pas pour une toupie ?

 

- Eh, je plaisante ! Tu vas pas te prendre le testoun pour une connerie amicale ?

 

- Je sais ! Mais des fois, je contrôle plus et ça me fait de la peine !

 

- Allez, Cèlou ! Bois un coup, c’est ma tournée ! Enfin, aujourd’hui j’en ai appris une tonne sur les mystères de la chaleur ! L’autre con de Mèu, qui m’a raconté l’histoire d’un jobastre qui se promène dans le désert avec le minimum d’eau, pour être sûr de mourir de soif et toi qui me dis que des baigneurs se nèguent dans leur transpiration... Maintenant je peux faire "Question pour un Champion"...

 

- Arétorique !

 

- Quoi, arrêt torique ?

 

- Ca me revient d’un coup, a-ré-to-rique, c’est de l’arétorique ! Le mot de merde que je cherchais !

 

- T’es sûr d’avoir un dico homologué français ?

 

- J’ai pas de dico ! C'est trop long à lire !

 

- C'est vrai que ça se lit pas comme  Pif le Chien ! Pour en revenir à nos brebis...

 

Tu voulais dire de la réthorique ?

 

- Ouais, de l’arétorique !

 

- Si tu veux... Mais le vrai mot c’est ré-tho-ri-que en un seul mot !

 

- Ah, bon ! C’est pas féminin ? C’est "LE" rétorique ?

 

- Eh, non ! Counas ! C’est "LA" réthorique !

 

- Eh bè ! C’est ce que je disais, non ? L’arétorique !

 

- Presque, mais… Bon on va laisser tomber, sinon on sera encore là pour les vendanges !

 

- Toujours est-il que…

 

- Toujours est-il, que c’est l’heure de la fermer et de boire un coup ! Oh, Zè ! Envoie-nous  des glaçons avec un peu de pastaga autour !

 

 

Scène 4

 

- Putain ! On est pas bien là... Dire qu’y en a qui se prennent des coups de soleil sur la plage…

 

- T’as raison ! Y’en a même qui se gèlent les couilles au pôle Nord…

 

- Ouais ! Mais en ce moment c’est l’été, et même  en antarctique, i’ bronzent pareil !

 

- Je sais ! Mais j’ai pas dit en antarctique. J’ai dit dans le Grand Nord,  chez les esquimaux.  Y’a une nuance. Y'a pas d’été chez les pivolos glacés sinon y fondent, à moins de se mettre au frigo ! Et comme i’ z’ont pas EDF, i’ sont mal !

 

- Tu me donnes envie de manger une glace ! Oh, Zè ! Tu m’envoies un cornet chocolaté s’iou-plaît ! T’en veux un, Cissou ?

 

- Non, merci ! Je continue la bière, ça me fait digérer !

 

- Zè ! Rajoute une allemande pour Francis !

 

- Vé, i' manquait plus que lui ! Le plus beau de la Pointe-Rouge qui arrive !

 

- Oh, les retraités ! Vous prenez le frais ?

 

- Adieu, Fèli !  T’es pas allé taquiner la girelle, aujourd’hui ?

 

- Z’êtes pas au courant ?

 

- Eh non ! On a pas regardé les Actualités Régionales... On t’a fauché ta barcasse ou quoi ?

 

- Pire ! J’ai le bourrin de mon yacht qui m’a fait des caprices !

 

- Il a fait une fugue ?

 

- J’aurais bien aimé ! En fait, il a explosé ! Je vous dis pas le ouaille ! On aurait dit un attentat  benladénien.

 

- C’est pas vrai ! Y’ a eu des morts ?

 

- Presque ! Mais on a évité le pire ! Y'avait les pompiers, je vous dis pas ! Enfin… y'avait un pompier en civil, le fils Balestracci…

 

- Qui ?

 

- Et ouais ! Tu l'as déjà vu... C’est celui qui a la tronche de travers que pour le reconnaître i’ faut lui demander ses papiers !

 

- Ma foi...

 

- Tu te souviens pas Francis ? A la fête du concours de boule de la Maronaise  Le grand con d’Endoume qui ouvrait les oursins avec ses dents…

 

- Ah ! C’est ce jobastre... Putain ! Lui, c’est un hors série ! Tellement il est laid que j'avais peur de lui parler. On sait jamais... Des fois que c'est contagieux ! Et il est pompier ce  fracassé ? Fache de con ! Si t’as besoin d’éteindre un feu, vaut mieux laisser brûler ! Rien que de le voir, le feu y se cague et i’ brûle tout par peur !

 

- Dans ce coup il a assuré ! C’est lui qui m’a dit qu’il fallait utiliser un estinteur ! C’était pas con comme idée... Mais ce qui était  con c’est que je n’en avais pas ! Le temps d'en trouver un le feu s’est calmé tout seul. On a évité la catastrophe nationale de justesse. Vous vous rendez compte que pour une connerie comme ça, que le port de la Pointe-Rouge aurait pu être rayé de la carte... comme Perlarbour !

 

- T’as raison, et peut-être même  le Vieux-Port et la Bonne Mère !

 

- Ouais… ça tient à rien les catastrophes, une barque qui crame et on déclenche le plan ORSEC et la région PACA est classé zone sinistrée…

 

- Finalement Fèli, malgré tes conneries, on l'a échappé belle ! 

 

- Tu l'as dit ! Et ça va pas nous empêcher de boire un coup à la santé du pauvre Balestracci....   

 

 

Scène 5

 

 

-          Garde qui vient ?

 

-          Mais c’est Mèu… Oh, Vagabond ! On croyait que  t’étais perdu !

 

-          Laissez-moi me remettre… ‘tcheudeu’ ! Même pas en Nouvelle Calédonie i’ connaissent cette chaleur !

 

-          T’as l’air un peu fatigué…

 

-          Fatigué ! Tu rigoles ! Je suis carbonisé complet. Un barbecue humain je suis ! J’ai dû cramer de l’intérieur. J’ai l’impression que je peux même pas ouvrir la bouche tellement je suis brûlé.

 

-          Juste l’impression alors ! Parce que je te confirme que tu parles, à moins que tu sois devenu ventriloque… Par effet de serre !

 

-          Rigoles pas, j’ai vécu une après-midi d’enfer ! Même pas satan il arrive à avoir son chauffage aussi haut !

 

-          Et tes godasses vernis, tu les as trouvé ?

 

-          Ne m’en parles pas ! J’en ai trouvé des superbes. Vernis haut de gamme et pas du skaï, je te le dis ! Comme une truffe que je suis, je me suis pas méfié, le prix était en euros.  280 . Je  me suis pas emmerdé à faire le compte en français. Même pas 300, ca m’a pas effrayé. Quand j’ai discuté avec la vendeuse… entre parenthèse un sacré paquet, même pas tu lui demandes son certif de santé, tu prends tout le sida et le reste. Attention ! Tu mets car même une capote renforcée, on sait jamais ! Je continue, par précaution je lui demande de me traduire en centimes français. Encore un peu je bascule dans l’inconscience.  1836 francs et elle a même ajouté les broutilles, 68 centimes.  Tu me connais, j’ai pas broncher une oreille, ni les deux d’ailleurs.  J’ai fait le charmant.  Vu la qualité, on ne peut pas discuter sur le prix. Et puis je pouvais pas passer pour un rachteque. Pas devant cette bombe atomique. J’ai fait le seigneur en lui disant que c’était carrément un cadeau qu’ils me faisaient. Tu parles ! Si mes vieux apprennent le prix, i’ me coupe mes tickets resto et i’ me déshéritent.

 

-          C’est vrai que vivre avec ses parents, c’est pas facile !

 

-          Ouais et surtout quand t’as presque 30 balais et que tu travailles pas !

 

-          Là, je t’arrête, l’analyste ! Y’a une nuance et elle est immense. Je travaille, mais pas en ce moment. C’est pas moi qui veux pas, c’est la conjoncture. Et contre la conjoncture tu n’y peux rien. C’est mondial. C’est PPDA qui le dit, alors !

- Ouais, d’accord ! A mon avis la conjoncture comme tu dis, plus la fégnasserie ça fait beaucoup. Et ça PPDA aurait dû le dire.

 

- Tu veux dire quoi, par là ? Que je suis une fégnasse ?

 

- Bè non, Mèu ! Je veux dire simplement qu’à tous les niveaux, conjoncturels et autres, t’as rien qui te favorise. En fait, t’es né dans une mauvaise époque. Fallait choisir celle des Rois Fainéants, t’aurais peut-être eu le trône. 

 

 

Reportages en direct effectués sans équipe technique

 

 
 
Bianchimani